FATMA vu par la presse

Pour le metteur en scène, “ de l’Algérie à l’Afrique de l’Ouest, la pièce est transposable sans difficulté. Plus encore, je crois que dans Fatma on voit vivre une femme sur sa terrasse et qui refait “son“ monde, mais Benguettaf aurait sans doute pu écrire un texte semblable avec un personnage masculin qui subit des pressions, qui essaie de trouver des espaces pour se réaliser, qui a ses rêves, ses désirs“ .

Le Dauphiné libéré

Quelle femme ! Il y a de la tristesse, de la rage, il y a de la force en tout moment dans l’interprétation de cette comédienne. Exaltée dans ses mots, elle nous les lance comme des couteaux . De victime, Diara Keïta transforme Fatma en juge et nous associe à cette mutation dès son entrée sur scène.

Tout au long du spectacle, elle nous tend un miroir et nous oblige à voir au plus profond de nous!

Revue de Théâtre espagnole

Magistralement interprétée par Diara Keïta dans le rôle de Fatma, cette pièce de théâtre nous a ravis par la profondeur de ses propos.

La Dépêche du midi

Dans ce pays, il y a pénurie de larmes mais excédent de colère tempête Fatma, interprétée avec une étonnante et généreuse énergie par Diara Keïta ! L’actrice porte à bout de voix et de corps un texte ciselé, mordant et parfois sentencieux. le petit doit tout donner jusqu’à ce qu’il rencontre plus petit que lui.

Le monologue de M’hamed Benguettaf est beau, lourd de sens moral et politique.

La Nouvelle République

Cherchant l’amour et le respect des autres en vain, elle ne se froisse même pas, mais laisse exploser son amertume.

Le courrier de l’ouest

Un texte fort, empli de saveur philosophique, d’ou il ressort que nous aurions tous besoin d’une terrasse pour terrasser un quotidien pesant, échapper aux pressions de tous ordres et prendre une hauteur salvatrice.

Dire lot

Fatma garde néanmoins la foi, sur cette terrasse transformée en lieu de purification. A travers elle, c’est de la fragilité de l’Humanité dont il est question… notre fragilité.

La semaine du Lot

La reine du monologue, Diara Keïta, sénégalaise, épate par sa prestance

La Dépêche du midi